Couverture fascicule

«Wittgenstein, Vienne et la modernité» A. Janik et S. Toulmin

[compte-rendu]

Année 1978 39 pp. 120-121
doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 120

A. Janik etS. Toulmin

WITTGENSTEIN,

VIENNE ET LA MODERNITE

Paris, P.U.F.. 1978, 62 F.

La fin du xixe siècle et le début du xxe fut' une période extraordinairement fertile, douée d'une étonnante particularité. Dans cette capitale d'un empire agonisant, au centre d'une société sclérosée et incapable de se secouer, de se régénérer, vont se trouver un certain nombre d'hommes, représentant toutes les disciplines qui seront à l'origine de presque tout le mouvement culturel contemporain : Freud inventait la psychanalyse, Muhler Schoenberg contribuaient à à créer la musique moderne, Hugo von Hof- mannsthal et Robert Musil abordaient les problèmes de la création littéraire, architectes, peintres, hommes de sciences : tous formaient un groupe autour d'un homme à peine connu aujourd'hui Karl Kraus, journa-

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw