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La vocale et l'instrumentale: jeux de miroirs au temps des Lumières. Poétique des rapports entre musique vocale et musique instrumentale dans la seconde moitié du 18e siècle

  • Autores: Claude Dauphin
  • Localización: Itamar, revista de investigación musical: territorios para el arte, ISSN 1889-1713, ISSN-e 2386-8260, Nº. 1, 2008, págs. 19-29
  • Idioma: francés
  • Enlaces
  • Resumen
    • English

      These ideas are an attempt to explain some functional musical gestures shaped with the help of language. Three perspectives are considered. First: the imitating archetypal patterns of speech; second, those adopted from the syntax process; and third, the definition of grammar. These hypotheses were risen in an earlier work of mine without further discussion or argumentation. They have been taken up here again to clarify what could be considered the attributes of the Italian influence that the legion of analysts and commentators of Baroque, preclassic and classic music identify without feeling the need to point them out. Too often being classified as having Italian influence is equal to denoting "a certain grace" of the melody in the ultramontane production during the eighteenth century. Meanwhile, the French style merely identifies certain rhythms established by the lullyenne opening detect and ineffable "majesty" in the work of the heirs of the Versailles' aesthetic. By this work I aim to point out in a more specific way the characteristics of both styles.

    • français

      Ces réflexions constituent une tentative d'explicitation fonctionnelle de certains gestes musicaux modelés sur des interpellations langagières. Je les envisage selon trois perspectives. Primo : celle de l'imitation archétypale des schèmes de la parole; secundo : celle de l'adoption de procédés syntaxiques; tertio : celle de la définition de leur grammaire. J'avais soulevé ces hypothèses dans un précédent écrit sans m'être donné la peine ni de les discuter ni de les argumenter. En les reprenant ici je vise à préciser en quoi pouvaient consister les attributs d'italianisme que la légion d'analystes et de commentateurs des musiques baroque, préclassique et classique croit repérer sans éprouver l'obligation de les désigner. Trop souvent en effet le qualificatif d'italianisme se limite à dénoter "une certaine grâce" de la mélodie dans le répertoire ultramontain du XVIIIe siècle. Parallèlement, la désignation du style français se borne à repérer des rythmes pointés institués par l'ouverture lullyenne et à déceler une ineffable "majesté" dans l'oeuvre des héritiers de l'esthétique versaillaise. J'espère, par cette prospection, parvenir à baliser de manière plus spécifique les caractéristiques des deux styles.


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